La relation entre un chrétien et la maladie est complexe et peut être influencée par divers facteurs, notamment les pratiques occultistes, les croyances religieuses, les enseignements théologiques et les expériences personnelles. Voici quelques perspectives générales sur ce sujet :
La maladie comme conséquences des liens héréditaires
Une grande majorité de maladies inexpliquées est issue des liens héréditaires qui prennent effet à partir d’un membre dune famille pour ainsi régner sur la descendance de sa lignée. S’ils ne sont pas arrêtés par la prière de délivrance au Nom de Jésus-Christ, ces liens vont continuer à occasionner beaucoup de dégâts dans les vies des personnes concernées.
Ses sources en sont souvent autres que :
- Les pactes signés par une personne ayant payé le prix ou donné pour gage, les vies de sa descendance ou d’autres personnes afin de les laisser subir des souffrances cycliques ou continuelles sans repos, des maladies inexpliquées difficilement guérissables, des situations incontrôlables… dans le but de gagner une vie de prospérité illusoire, de richesse, d’influence… dans la société ;
- Les malédictions ou mauvais sorts lancés par une personne de mauvais augure, condamnant une lignée à subir un mal quelconque.
- …
La maladie comme source des conséquences des pratiques maléfiques
Plusieurs de maladies sont issues d’une source maléfique, soit de la malédiction, soit d’un mauvais sort, soit des imprécations, soit des sortilèges… liées à des pratiques occultistes, magiques, sorcelleriques, fétichistes, maraboutages…
Les maladies sont de fois aussi les conséquences personnelles des actes posés par des personnes elle-même. Quelques exemples vous feront illustrer cela.
- Les mauvais sorts lancés par une personne nuisante souhaitant la destruction ou la mort de son prochain dans le but tout simplement de ne plus vouloir cette voir personne physiquement ou entendre parler de vous par motif de jalousie, de récupérer votre poste ou votre conjoint…
- Les malédictions prononcées par les propriétaires des objets volées…
- …
La souffrance comme partie intégrante de la vie humaine
Dans de nombreuses traditions chrétiennes, la souffrance et la maladie sont considérées comme des réalités inévitables de la condition humaine, résultant de la chute originelle ou du péché dans le monde. Cette perspective peut amener les chrétiens à voir la maladie comme une malédiction ou une opportunité de croissance spirituelle, de patience et de confiance en Dieu.
La guérison comme une manifestation de la grâce de Dieu
Pour beaucoup de chrétiens, la prière pour la guérison et le recours aux sacrements, tels que l’onction des malades, sont des moyens par lesquels Dieu peut intervenir dans la vie des personnes souffrantes. Cependant, la guérison n’est pas toujours physique, et certains chrétiens peuvent trouver la force et la consolation spirituelle même dans la maladie.
La souffrance et le sens de la solidarité
L’enseignement chrétien met souvent l’accent sur la compassion et la solidarité envers les personnes malades et souffrantes. Les chrétiens sont encouragés à soutenir ceux qui sont affligés, à prier pour eux et à les accompagner dans leur parcours de guérison physique, émotionnelle et spirituelle.
La question de la souffrance injuste
Pour certains chrétiens, en particulier dans les moments de grande épreuve, la souffrance peut poser un défi à leur foi. La question théologique de la souffrance injuste – pourquoi les innocents souffrent-elle – peut être une source de lutte spirituelle et de recherche de sens. Certains trouveront des réponses dans la croyance en une vie après la mort où la justice divine sera pleinement réalisée.
L’importance de la prière et de la confiance en Dieu
Face à la maladie, de nombreux chrétiens trouvent du réconfort dans la prière et dans leur relation personnelle avec Dieu. La foi en un Dieu aimant et compatissant peut apporter un sentiment de paix et de confiance, même au milieu de la souffrance.
En résumé, la relation entre un chrétien et la maladie est profonde et multifacette, intégrant des dimensions spirituelles, théologiques et pratiques. Pour chaque individu, la manière de vivre cette relation dépendra de sa propre foi, de ses convictions et de ses expériences personnelles.
